





La MICRO-NUTRITION, POUR QUOI FAIRE ?
DANS NOTRE ASSIETTE NOUS RETROUVONS :
- Des macronutriments, fournisseurs d’énergie à l’organisme : les lipides, les glucides et les protéines.
- Des micronutriments, présents en très petite quantité dans l’alimentation et pourtant indispensables : les vitamines, les minéraux, les oligoéléments, les acides gras essentiels mais aussi les flavonoïdes, les acides aminés…
La micronutrition étudie l’impact de ces micronutriments sur la santé, évalue les déficits et recherche les moyens d’optimiser le statut micro nutritionnel des individus.
Pour un fonctionnement optimal, notre organisme a besoin de très nombreux micronutriments, ces molécules qu’il ne peut fabriquer ou en quantité trop insuffisante.
Son CHAMP D'ACTION touche toutes les spécialités médicales.
La MICRO-NUTRITION ouvre la porte à l'efficacité des autres médecines. Elle en amplifie les possibilités dans quelque domaine que ce soit :
- Dans le domaine de la PREVENTION et la RECHERCHE D'UNE SANTE A SON OPTIMUM INDIVIDUEL ET SPECIFIQUE,
- Dans le domaine du CURATIF, depuis les patrologies les plus bénignes comme le rhume ( mais ces pathologies bénignes ne sont pas les moins coûteuses pour la société ) aux pathologies plus lourdes ( hépatites, maladies cardio-vasculaires ou cancérologiques ) où elle se situe alors comme THERAPIE ADJUVANTE ET COMPLEMENTAIRE.
DE LA PREVENTION ACTIVE A LA SANTE
Ce que l’on entend souvent par prévention n’est que du dépistage précoce : faire régulièrement son frottis vaginal ou un examen radiologique du poumon ne prévient pas la maladie. Cela permet juste de la dépister à un stade plus précoce et donc plus bénin.
La vaccination n’est pas de la prévention mais de l’immunisation spécifique.
La vraie prévention se conçoit avec une approche du mode de vie et de la nutrition dont on sait qu’elle est pour 70% à l’origine et l’entretien des grandes maladies chroniques du monde moderne.
La vraie prévention se conçoit avec une approche diététique puis secondairement nutritionnelle. Tout le monde en est conscient mais il semble que cela remette tant de choses en question que l’on retarde le moment de faire éclater ces évidences.
La PREVENTION ACTIVE est l’objectivation scientifique des critères de vraie prévention et surtout de leur réussite dans leur mission d’empêcher, de retarder ou d’atténuer certaines affections.
Une multitude d’études EPIDEMIOLOGIQUES nationales et internationales permettent de penser que la CONSOMMATION OPTIMISEE de certains nutriments (Vitamines A, E, C, carotènes, SELENIUM, ZINC, FOLATES...) sont la BASE INCONTOURNABLE DE CETTE VRAIE PREVENTION.